Facebook et Snapchat font l’objet d’une plainte à Nîmes dans une affaire de harcèlement. Les deux réseaux sociaux vont devoir répondre de complicité pour avoir diffusé des photomontages pornographiques mettant en scène des collégiennes mineures. Une des victimes n’a que 13 ans.
Les photomontages à caractère sexuel se sont accompagnés de « menaces réitérées de violences physiques ». Les insultes à caractère sexuel ont également fleuri, relayées par les réseaux sociaux, rapporte LCI.
Le même média signale qu’une des victimes s’est portée partie civile.
Des “dommages irréparables”
Son avocate, Me Khadija Aoudia, a déclaré à l’AFP que les agissement visant à obtenir des « faveurs sexuelles » on causé des « dommages irréparables ».
Elle estime que les réseaux sociaux internationaux « se doivent d’investir dans des paramètres de contrôle pour ne plus diffuser des photos à caractère sexuel concernant des enfants, des adolescents ». Ils doivent « protéger les plus faibles », a-t-elle indiqué.
L’intégralité de cet article peut être consulté sur le site de LCI.
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