Alors que les pires rumeurs circulent déjà sur les conditions de travail d’actrices exploitées et ultra controlées, le journal Le Monde lève le voile complet sur une entreprise hyper-rentable aux manières abjectes.
Montages financiers, holding à l’étranger, films au rabais, actrices mal payées… Dans l’empire des Dorcel père et fils, millionnaires du X et rois autoproclamés du « pornochic » depuis quarante ans, tout n’est pas si rose.
Un label connu de tous, un nom passé dans le langage commun. Et, surtout, une entreprise presque comme les autres, qui vient de s’installer au cœur d’un pôle média, à deux pas de Radio France, dans le 16e arrondissement de Paris, dans un immeuble avec open spaces et salles de réunion vitrées où une cinquantaine d’employés se répartissent entre les services de distribution de programmes adultes, de marketing ou de commerce de détail. Parmi ses activités, la plus rentable est la VOD (vidéo à la demande), qui représenterait à elle seule entre 60 % et 70 % du chiffre d’affaires, le reste étant réparti entre les six chaînes de télévision et une griffe de sextoys.
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