La récente affaire Jacquie & Michel a libéré la parole dans l’industrie du porno. Les accusations de viols et de proxénétisme ne cessent de pleuvoir contre les producteurs de porno. En réaction, une partie de l’industrie veut établir une charte déontologique. Pour Stop au porno, il ne s’agit que d’un écran de fumée pour continuer cette industrie aux fondements criminels.
L’un des principaux producteurs de porno en France, la société Marc Dorcel, travaille à la première charte déontologique pour les productions X françaises. La vague MeToo n’a pas épargné ce milieu, où les affaires de harcèlement et d’agressions sexuelles sont malheureusement courantes.
La société Dorcel a demandé à trois personnes de mener cette mission à bien : l’actrice, réalisatrice et productrice Liza del Sierra, le sociologue de l’université Paris-I Alexandre Duclos, et un avocat qui défend les droits des actrices pornos comme ceux de l’Observatoire de la parentalité et de l’éducation numérique, Me Matthieu Cordelier.
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