La parole continue de se libérer pour toutes les victimes de l’industrie porno-criminelle.
« On peut être actrice porno et victime de viol »: pendant sa courte carrière, Mathilde (NDLR : le prénom a été modifié) raconte avoir subi des violences sexuelles répétées lors de tournages. Aujourd’hui, elle témoigne des difficultés à faire respecter le consentement, dans une industrie du X secouée par les affaires judiciaires. Les récentes enquêtes qui visent des figures du milieu, comme le site Jacquie et Michel ou le producteur « Pascal OP », et qui viennent d’entraîner la publication de premières chartes éthiques et déontologiques dans ce secteur, réveillent chez cette femme de 32 ans des souvenirs douloureux.
Entre 2009 et 2012, elle a été confrontée à l’explosion du porno dit « amateur », désormais roi sur Internet. A 20 ans, elle découvre alors un univers « où on dit aux actrices qu’il faut accepter les…. ».
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