Grâce aux réseaux sociaux populaires, des cybercriminels du monde entier s’échangent des images et des vidéos pédopornographiques sans la moindre difficulté. Si certains monnaient leurs services, d’autres cherchent à agrandir leurs communautés. Interrogées sur le sujet, les plateformes comme Facebook et Twitter se disent concernées, mais apparaissent dépassées. Enquête.
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S’il est d’usage de considérer que la pédocriminalité fait ses choux gras sur le « dark web » via Tor, les réseaux sociaux, accessibles à tous, ne sont pas en reste.
Dans cette enquête, Numerama a observé combien il était facile, en quelques clics, pour des cybercriminels de retrouver et échanger des milliers de contenus pédopornographiques. Ce travail a été aussi difficile à mener qu’il est complexe à présenter à nos lectrices et lecteurs. Il est cependant nécessaire pour montrer l’immensité du problème et la responsabilité des plateformes (Facebook, YouTube et Twitter en tête) qui peinent à mettre les moyens suffisants pour combattre ces pratiques.
L’équation est simple : à l’aide de mots clés, d’un réseau social très populaire et d’une barre de recherche, on trouve des groupes de discussions, des photos, des vidéos et des liens vers des plateformes où sont stockés parfois plus de 100 gigaoctets (Go) d’images insoutenables.
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