Twitter a refusé de retirer des images et des vidéos pornographiques largement partagées d’une adolescente victime de trafic sexuel parce qu’une enquête « n’a pas constaté de violation » des politiques de l’entreprise, selon une plainte.
Le procès fédéral, intenté mercredi par la victime et sa mère dans le district nord de la Californie, allègue que Twitter a gagné de l’argent grâce aux clips, qui montraient un adolescent de 13 ans se livrant à des actes sexuels et qui sont une forme de matériel pédopornographique, selon la plainte.
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