Le tsunami pornographique a plusieurs facettes et plusieurs conséquences néfastes : les cas d’enfants exploités sexuellement sur l’internet ont atteint un sommet avec le confinement.
Des dizaines de milliers d’images pédopornographiques sont détectées chaque année sur les serveurs informatiques de sociétés d’hébergement installées au Québec.
Des sites web utilisés par des prédateurs du monde entier pour partager des dizaines de milliers d’images pédopornographiques sont hébergés sur les serveurs informatiques de grandes entreprises installées au Québec, révèlent des données inédites obtenues par La Presse. Les experts sont catégoriques : les hébergeurs web ne peuvent plus fermer les yeux sur les contenus illicites des sites hébergés sur leurs serveurs.
Réponse des entreprises : nous n’avons pas accès au contenu de nos clients.
Faux, rétorque Jean Loup Le Roux, expert en cybersécurité et vie privée. « Les hébergeurs, ils ne veulent pas se mêler de ce que font leurs usagers. Mais d’un point de vue technologique, dans la vaste majorité des cas, ils ont accès au contenu. C’est leur infrastructure. »
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