Chers amis,
Une des nouvelles de la semaine dernière, nous a confronté une fois de plus à l’un des grands paradoxes de notre société : la permissivité sexuelle. Aujourd’hui considérée comme un droit inaliénable, cette permissivité sexuelle mène inévitablement à des situations déviantes et parfois violentes : situations qui seront alors décriées par tous.
C’est ainsi qu’un ancien ministre, Nicolas Hulot, est accusé de propositions assez peu alléchantes faites à une jeune femme, il y a des années de cela, propositions rapportées avec gourmandise par cette dernière dans des émissions grand public, par l’utilisation de mots d’une crudité inouïe, sans que les journalistes s’en émeuvent. Nicolas Hulot, qui clame pourtant son innocence, annonce en conséquence qu’il va quitter la vie politique.
Il devient évident qu’entre « permissivité sexuelle », « pornographie » et « violences sexuelles », il n’y a qu’un pas.
Il ne serait pas inutile de remettre de la cohérence sur ce sujet, pour que chacun puisse savoir « sur quel pied danser » : la permissivité sous toutes ses coutures est-elle un bien ou un mal ?
Il devient urgent que la société tout entière réponde clairement à cette question.