Depuis le début de la pandémie de coronavirus, les sites et plateformes de streaming vidéo ont connu une véritable explosion ces derniers mois. Si bien qu’on estime à 60 % la part du streaming sur l’ensemble de la consommation d’Internet. Largement devant l’envoi de mails ou la consultation des réseaux sociaux.
Un succès grandissant qui s’accompagne aussi de son revers de la médaille : selon plusieurs études, la consommation de vidéos sur Internet contribuerait, via l’électricité dépensée par les ordinateurs, serveurs et autres routeurs, près de 300 millions de tonnes de CO2 dans l’atmosphère. Soit 1,2 % de l’ensemble des émissions de CO2 à travers la planète.
Rassemblant à lui seul 26,67 % des vidéos streaming regardées chaque jour, le secteur de la pornographie rejetterait 80 millions de tonnes rien que pour le visionnage de vidéos sur Internet, selon une étude du Global Carbon Atlas. Soit l’équivalent de la production annuelle de CO2 en Belgique.
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