Source [SOS Education]
Chère amie, Cher ami,
De plus en plus d’enfants, et particulièrement des adolescentes, sont touchés par la déferlante idéologique transidentitaire.
Aucun milieu (social ou culturel) n’est épargné. Les lobbies de l’affirmation du genre ressenti, qui prônent la négation de la réalité du sexe biologique, sont d’une puissance ahurissante.
Le transactivisme cible spécifiquement les jeunes. Il se répand à une vitesse vertigineuse :
- – sur les réseaux sociaux ;
- – dans les médias ;
- – dans les productions cinématographiques ;
- – et dans les séries dont les jeunes sont friands.
Regardez et parlez-en autour de vous.
Vous serez sans doute surpris de constater que dans votre entourage, dans votre cercle proche, un ou plusieurs jeunes sont déjà pris dans les mailles du filet des lobbies transactivistes.
S’ajoute à l’influence des lobbies un activisme politique redoutable d’efficacité. La circulaire de Jean-Michel Blanquer, qui prend fait et cause pour la théorie du genre ressenti à l’École, en est la preuve.
Par des techniques semblables à celle des sectes, les idéologues du genre ressenti attirent les jeunes les plus sensibles, en questionnement identitaire ou existentiel, ou présentant des troubles psychosociologiques…
Ils leur font croire qu’ils peuvent changer de sexe d’un coup de baguette magique, avec à la clé le bonheur garanti.
Mais la réalité du processus de la « transition de genre » est bien différente :
- Corps mutilés…
- Puberté interrompue…
- Traitements dangereux…
- Médicaments à vie…
- Infertilité…
- Développement altéré du cerveau…
- Dépression…
- Regrets…
… La liste est encore longue.
Afin de mesurer les risques réels et pour mieux alerter le grand public, SOS Éducation publie aujourd’hui une analyse approfondie sur la menace qui pèse sur les enfants.
Consultez-la en cliquant ici
Vous ne trouverez pas d’autre document aussi complet, qui rassemble autant de sources internationales, de témoignages de scientifiques, de points de vue des professionnels de santé et de personnes ayant transitionné, de publications qui dénoncent l’influence des lobbies…
Des jeunes ayant changé de genre dénoncent les pratiques affirmatives de transition pédiatrique. Ils reprochent aux adultes de ne pas s’être intéressés à l’origine de leur souffrance et de les avoir pris pour des cobayes sur lesquels ont été administrés des traitements qui n’ont jamais été approuvés sur des enfants !
Les témoignages de ces « détransitionneurs » sont autant d’appels à la prudence, à la patience, à l’attente vigilante :
- Adopter une attitude bienveillante… sans se laisser emporter par la vague transaffirmative ;
- Écouter et prendre en charge la souffrance de l’enfant… sans affirmer immédiatement la demande de changement de sexe.
Il y a urgence.
Devant le désastre sanitaire annoncé, les pays soi-disant les plus « progressistes », qui avaient foncé tête baissée dans l’affirmation de la transidentité déclarée d’enfants, font machine arrière.
Mais la France, aveugle et sourde, vient de s’engager à son tour dans cette impasse idéologique qui menace la santé mentale et physique des enfants.
Priorité à l’Éducation !
Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation