L’article ci-contre indique en effet que l’observatoire de la parentalité et de l’éducation numérique (OPEN) a décrypté les effets de la consultation pornographique sur les adolescents. Si au moins la moitié des 15-17 ans a surfé sur une plateforme X, la première visite a lieu en règle générale à 14 ans. Mais surtout près d’un adolescent sur deux avoue qu’il a tenté de reproduire des scènes vues dans des films pornographiques.
Le Dr Laurent Karila, psychiatre à l’hôpital Paul Brousse, porte-parole de SOS Addictions, explique en quelques lignes les dangers du porno. Il peut en effet selon lui y avoir le développement de troubles profonds chez le jeune consommateur. Sans aucun filtre, ce dernier est confronté en effet à tout type d’images, sachant que généralement il a peu d’expérience sexuelle.